nom : Chavez. prénom : Ezequiel. âge : dix-neuf ans. date de naissance : dix-huit août. nationalité : mexicaine. situation amoureuse : indescriptible. orientation sexuelle : pansexuelle. un trou reste un trou. études/métier : vendeur à la playa langosta le jour. barman au coco bango la nuit. situation financière : Très modeste. La galère et la difficulté des fins de mois, les Chavez connaissent. Heureusement depuis que les jumeaux travaillent c'est plus facile. caractère : Séducteur – Intimidant – N'a pas froid aux yeux – Hypocrite – Intelligent – Leader – Peu empathique – Possessif – Semble ignorer les normes et les bonnes moeurs – Excessif – Mauvais – Sans limite – Provocateur – Naturellement doué dans les domaines artistiques mais n'exploite nullement ce talent. rêve : faire des études. arrêter la cigarette. comme Maurice, dépasser les bornes des limites, et tant pis s'il se brûle les ailes. célébrité : Louis Tomlinson. groupe : Action.

si l'on vous proposes de tout plaquer, acceptez-vous ? A une seule condition, non négociable, que je puisse amener mon frère avec moi dans ma valise. J'ai appris à m'y faire de ce pays plein d'inégalité, mais je n'ai aucun soucis à m'imaginer ailleurs qu'au Mexique, à tout plaquer pour recommencer ailleurs et pourquoi pas me lancer enfin dans des études qui me sont hors d'accès ici. Mais pas sans Moisés !croyez-vous au destin, la chance ? Je crois surtout que la vie est une putain de sal**e et qu'on aura jamais vraiment d'emprise sur elle, sauf si l'on s'en donne véritablement les moyens. Il n'y a pas de destin, pas de chance, juste une différence entre ceux qui décide de subir et ceux qui choisisse d'agir. Et pour info, je me situe dans la deuxième catégorie. un aveugle déclare être perdu, comment réagissez-vous, l'aidez-vous ? Cet aveugle il est mignon ? J'me suis jamais tapé un aveugle. Plus sérieusement, cela dépendra de mon humeur. Supposons que je sois de bonne humeur, le dit aveugle se verra remit dans le droit de chemin rapidement, je ne m'y attarderai pas trop mais je pourrai me montrer un minimum serviable. Dans le cas contraire, il peut aller se brosser et je serrais même capable de l'ignorer bêtement et passer mon chemin comme si je n'avais rien remarqué. Et puis Moisés s'occupera de lui de toute façon, il est toujours dans mes pattes celui la si vous gagnez au loto, que faites-vous ? J'en profite pour me payer des études aux États Unis ou en Europe, dans une université réputée. J'emmènerai Moisés dans ma valise (il a pas le choix !) et je ferai en sorte que ma famille (mon frère aîné et ma mère) soit à l'abri du besoin avant de filer vers d'autres horizons. Ma mère s'est saigné aux quatre veines pour nous faire manger et nous habiller, je lui dois bien ça.

△ nine crimes
Ezequiel est spécial et il est difficile de le cerner. Hypocrite, jamais réellement sincère, il peut arborer des masques de bienséance lorsqu'il en a l'utilité. Devant Maman, il joue le fils parfait. Avec les profs au lycée, il restait l'élève studieux et discipliné. Face à une jolie fille ou un garçon canon, il peut se montrer prévenant et particulièrement charmant. Devant son patron, même rengaine, il est l'employé modèle. Mais lorsqu'il en a pas l'utilité, c'est un visage froid et intimidant qui semble être son expression par défaut. Avec son frère Moisés, rien de tout ça, il n'use d'aucune fioriture. Il ne lui cache aucun de ses états d'âme, ni rien de son caractère sombre et tourmenté. Quitte à le bousculer un peu – beaucoup même – et l'emporter dans ses idées malsaines et borderlines.
Attention, c'est Ezequiel qui mène la danse. S'il parvient à s'accommoder à peu près d'une autorité qu'il juge légitime comme sa mère ou son patron, ce sera totalement différent pour quelqu'un qui n'entrerait pas dans cette catégorie. Son besoin de mener est presque maladif et il supportera difficilement que quelqu'un décide pour lui, qu'on lui impose une situation, qu'on tente de saboter son autorité ou pire qu'on ose le remettre en question. Parce qu'il semble n'avoir aucune limite et qu'il peut aller très loin lorsqu'il est hors de lui. Ses colères sont froides, dangereuses et destructrices. Il est malin et saura parfaitement ou gratter pour faire un maximum de dégât. Parce qu'il est observateur et collectera minutieusement les informations qui pourraient se retourner contre vous.
Il souffre d'une vraie carence en matière de normes sociales et a réellement beaucoup de difficulté à voir certaine limite, qui sont pourtant clair pour le commun des mortels. En réalité, quelque chose de normal lui semblera presque ennuyant. Il aime donc provoquer, tester les limites de son entourage et en tire beaucoup de plaisir. Quoiqu'il en soit, il a réellement un mauvais fond qu'il dissimule avec plus ou moins de succès. Un conseil, évitez de trop vous en approcher.

Aussi loin qu'il pouvait remonter, Ezequiel ne se souvenait pas d'un moment passé loin de lui. Sa moitié, son frère, était toujours quelque part, à porter de regard. Ce n'était que lorsque les jumeaux étaient ensembles qu'ils se sentaient réellement bien. Lors de leur petite enfance, leur mère avait beau tenter l'impossible pour les séparer un peu et couper le cordon, pensant que ça leur ferait du bien de s'ouvrir à d'autres horizons. Effort totalement vain. Les deux trouvaient toujours le moyen de se retrouver, leur grande complicité les poussant toujours à passer la moindre de leur seconde ensemble, pour partager les mêmes jeux, les mêmes peines. Malgré la perte de leur père, Ezequiel gardait un souvenir heureux de son enfance. Certes, ce n'était pas toujours rose, les difficultés d'argent de leur mère qui tenait la petite famille à bout de bras, l'obligation pour Chus, leur grand frère ainé débrouillard, de faire quelques petits boulots pour aider un peu. L'insouciance de l'enfance les aidait à traverser ces périodes difficiles, côte à côte. L'aîné de la fratrie jalousait leur lien, leur capacité extraordinaire à passer les épreuves laborieuses juste parce qu'ils étaient soudés comme les doigts de la main. Qu'importe le nombre de fois ou ils n'avaient que des tortillas de maïs à se mettre sous la dent, Ezequiel et Moisés s'en accommodaient, bien plus occupé à imaginer un stratagème pour tourner en bourrique leur frère ainé. Ezequiel le cerveau et Moisés l'homme d'action ! Ils formaient un duo infernal et ce dès leur plus jeune âge.
Petit à petit, l'adolescence leur fit ouvrir les yeux. Non, tout n'était pas rose, mais plutôt d'un gris injuste et écœurant. Simple malchance de la vie, ils n'étaient pas nez avec une cuillère en argent dans la bouche. Pas comme ces touristes qui peuplaient la ville à longueur de temps ou ces jeunes américains qui peuplaient la ville lors de leur traditionnel Spring Break. Ezequiel se mit à les détester, conscient qu'il n'aurait jamais leur insouciance. L'injustice fut sa première réelle source de ressentiment. Le lycée n'arrangea pas son caractère. Et il le savait, rien ne pourrait le sortir de sa condition de type né du mauvais côté de la barrière. S'il restait en apparence courtois, à l'intérieur toute son âme bouillonnait. La vie était injuste, une allumeuse qui refuserait de le satisfaire. Alors il la prendrait de force et la violerait contre un mur.

Malgré ses bons résultats scolaires, il ne put obtenir de bourse, son lycée public étant connu pour délivrer une éducation médiocre. Ne pas pouvoir poursuivre ses études fut difficile à digérer. Il se destinait à de prestigieuses études, prévoyant même d'amener Moisés dans son périple universitaire. Sa déception le rendait encore plus aigre qu'à l'accoutumée et il se montra particulièrement insupportable avec Moisés qui était bien le seul à encaisser son caractère. Leur jeu du cap ou pas cap prenait une tournure beaucoup plus sadique, comme un moyen d'extérioriser sa frustration. Comme toujours, Ezequiel menait la danse et entrainait son double dans une spirale dangereuse, non sans conséquence. Ce jour là, il fut loin d'imaginer où tout cela les mènerait.
Il faisait chaud sur Cancùn. Les jumeaux ne travaillant pas, tentaient de passer le temps comme ils le pouvaient, malgré la chaleur écrasante. Cigarette à la bouche, Ezequiel bidouillait sur son vieil appareil photo qui s'était retrouvé malmené dans un de leur stupide défi. Il appréciait la photographie mais n'y voyait qu'une occupation ou un moyen de photographier son entourage en plein délit, pour les menacer ensuite de diffuser la fameuse photo dans toute la ville. Néanmoins il avait un réel talent qu'il ne décidait pas d'exploiter, jugeant ça inutile et n'apportant pas le moindre pesos. Un soupir franchit ses lèvres, il reposa l'appareil récalcitrant sur la moquette usée de leur chambre et continua sa clope. Le mouvement de son double le fit instinctivement se redresser, leur regard se croisèrent, valant le plus long des discours. Ezequiel désirait jouer, Moisés aussi. Face à face, les jumeaux s'observèrent un instant sans ciller avant que l'ainé de quelques minutes ouvre les hostilités, comme toujours. Son frère s'exécuta, non sans rechigner, il râlait mais finissait toujours pas se plier à ses exigences. Mais Moisés n'était pas sans ressource, il n'hésita pas à le faire souffrir à son tour, l'obligeant à maintenir sa main au dessus d'un briquet incandescent. C'était bien l'une des rares fois où il se montrait aussi sadique, c'est qu'il avait un bon modèle sous les yeux. Ezequiel dut serrer les dents pour ne pas flancher, s'accrochant aux douces représailles qui attendait son frère. Moisés était en train de lui échapper ou se mettait-il à raisonner comme lui, tout simplement ? Grognant de douleur, Ezequiel avait bien du mal à mettre de l'ordre dans toutes ses interrogations. Son frère mit fin à son supplice, enfin. Une cloque qu'il garderait un moment abimait la paume de sa main. L'ainé semblait avoir perdu son air tranquille et lui ordonna bien vite de lui obéir, sa voix tintée d'impatience. Et c'est avec méthode qu'Ezequiel se saisit brutalement du bras du cadet et écrasa la cigarette qu'il lui avait demandé d'allumer, appuyant avec force dessus pour que les cendres le brule profondément. Moisés n'avait pas sa capacité à masquer ses émotions, il restait quelqu'un d'entier qui peinait à se jouer des faux semblants et bien vite des larmes de souffrance coulaient sur ses joues. Cela ne l'empêcha pas d'en remettre une couche, montant encore d'un cran dans la tolérance à la douleur. Mais comme toujours, Moisés craquait le premier. Recroquevillé dans un coin de la chambre, il pleurait en silence, comme déboussolé. Ezequiel ne pouvait rester insensible à sa détresse, bien qu'il en était le seul responsable, une pointe de culpabilité l'envahissait. Il s'installa à ses côtés et avec douceur, posa une main sur son épaule, contrastant avec le mal qu'il venait de lui causer. « Allez, arrête de chialer un peu merde. » souffla-t-il, un brin exaspéré, espérant que son frère chasse vite cet instant de faiblesse. Sa réponse ne fut vraiment celle qu'il attendait. Déjà en miette, il voulait tout de même poursuivre le jeu ?

« Embrasse-moi. »

Ezequiel resta interdit devant la demande de son frère, la surprise se lisant sur son visage. Il ne le prit pas au sérieux, songeant à un coup de bluff. Mais Moisés ne perdit pas son sang-froid, ni sa détermination. Cette idée de tordue ne lui ressemblait pas, peut être qu'il jouait le tout pour le tout, espérant qu'Ezequiel se dégonfle, mettant fin à leur éternel jeu du cap ou pas cap. Mais le plus tordu des deux, c'était bien Eze. Moisés regrettait peut être déjà de lui avoir lancer ce défi, alors que son ainé posait ses mains sur son visage, s'approchant doucement. Le visage fermé, tendu, il ne semblait pas mettre du coeur à l'ouvrage mais un défi restait un défi et le jeune homme ne comptait pas s'y soustraire. Ce n'était qu'un baiser après tout. Il leur arrivait de déposer un bisou collant sur leur joue, comme le ferait deux enfants en simple signe d'affection. Ce baiser là n'avait rien d'enfantin. Leurs lèvres s'effleuraient doucement, timidement, mais bien vite le contact s'intensifia. Ils commencèrent à y prendre goût, sentant une tension étrange électriser l'air ambiant. Ce goût d'interdit lui plaisait bien, un léger sourire étira les lèvres de l'aîné alors qu'il continuait d'embrasser son frère, le soulevant doucement pour l'allonger sur la moquette. Tout cela était moralement punissable, une alerte rouge aurait du retentir dans le cerveau de l'aîné, sensé être le plus responsable des deux. Mais Ezequiel dérogeait à la règle du commun des mortels, aucune limite ne lui semblait infranchissable. Pour l'instant, il préférait mettre toutes ses considérations de côté. Moisés l'avait défié et ça s'arrêtait là après tout, le cadet était le seul responsable. Avec un sourire, Ezequiel l'embrassa sur le nez avec malice avant de se redresser, prenant la précaution de fermer la porte de leur chambre à clef. Intimant le silence à son cadet, il se débarrassa de son tee-shirt avant de fondre sur Moisés, repartant à la découverte de la douce saveur de ses lèvres. Le cap ou pas cap aurait des conséquences insoupçonnés, Ezequiel choisissait délibérément de les ignorer royalement …

You dit it ! Non, non, on ne vient pas de se faire un épisode de Dora la pas exploratrice. Bref, on la ferme et on fait le discours. Suite à la lecture de ta fiche, on t'annonce avec fierté -kuduro dance- que t'es validé(e) ! Bienvenue dans la famille avec nos boulettes, nos simplicités et nos démonstration de danse, oui on aime danser ici.

Enfin, après avoir transpiré pour ta fiche -ça existe le narta en passant- t'es juste à la dernière étape pour parfait. Comment être parfait ? C'est simple suit ses différentes étapes :

→ Recense ton avatar en premier lieu juste ici parce que sinon tu vas venir te plaindre si quelqu'un d'autre a la priorité à cause de ton oublie.
→ N'oublie pas de lire les annexes ici si jamais tu ne l'as pas déjà fait.
→ L'explication du fonctionnement des liens est à lire ici, c'est très important de le faire avant de pouvoir faire vos merveilleuse fiche.
→ Pour finir de te souler, n'oublie pas de voter pour le forum toutes les deux heures ici. Juste pour aider le forum.